La confusion entre plusieurs plaintes que j’ai déposées aux Tribunaux administratifs et au TGI de Mâcon pour le pénal, ne permet pas d’éclairer la finalité de ma recherche de vérité qui est ainsi occultée. C’est pourquoi, contrairement à ce que profère mon successeur, je lui réponds que je n’ai qu’une signature, la preuve, c’est qu’il a ordonné le paiement par la ville de Charnay la somme de 242 000 euros sous la convention imposée par Mâcon et que j’ai effectivement signée lorsque j’étais maire. Cependant, il n’a pas payé semble-t-il, et je vais m’attacher à le démontrer, la somme de 941 500 euros qu’exigeait Mr Courtois en tant que Maire de Mâcon pour l’année précédente. Mr Andrès n’a pas cru intelligent de dénoncer cette convention exorbitante pour le fonctionnement, mais au contraire l’a re-validée en payant la deuxième année. N’étant plus maire et me le faisant savoir, je n’ai donc pas eu de deuxième signature, par contre, lui, a signé après avoir fait voter par son Conseil Municipal (hormis son opposition), une nouvelle convention pour annuler et remplacer la première dont tout le monde s’est aperçu enfin qu’elle était totalement écrasante pour Charnay et qu’il aurait du la faire annuler.
Mais, coup du sort pour Mr Andrés, cette nouvelle convention, pour annuler et remplacer la première en litige, pour être opérationnelle doit être votée à la virgule près par le Conseil Municipal de Mâcon et par le SITEAM alors présidé par Mr Patard. Or, ces deux collectivités n’ont jamais délibéré, donc pas voté cette nouvelle convention. Chaos Charnaysien avec le non paiement pour l’année suivante d’un montant annoncé de 434 000euros. Et ce comportement pourrait être répétitif, pour conduire a des sommes cumulées de plus de 2 000 000 d’euros. C’est hallucinant de mauvaise gestion. Je réfute à Mr Andrès la possibilité de « rester coi » vis à vis de moi. Personnellement je serai plus dur que « coi ». Ses errements, avec l’accord ou pas de Mr Courtois sont coupables à mes yeux et c’est un sentiment que je veux faire partager. Sans regret.
Quant à Mr Courtois qui avoue avoir dépensé avec Mr Andrès la somme de 25 000 euros, qui parle de gâchis et de ma démarche stupide, il ne devra pas s’étonner des reproches de ses contribuables lorsqu’ils s’apercevront qu’il a manipulé le processus, sans faire rentrer dans les caisses du percepteur des recettes pour la ville, pour des montants de cette importance. Il devait avoir bien peur de mes « stupidités » pour prendre des avocats aussi chers sur le dos des contribuables. Je lui fais remarquer que pour ma part, pendant deux ans, j’ai assuré l’essentiel de la procédure, avocat malgré moi, et que ses défenseurs n’ont même pas pu me faire débourser par les tribunaux, les 7 000 euros qu’ils voulaient à mes dépens.
Chacune et chacun comprendra que je ne peux au nom des contribuables de Mâcon et Charnay en rester là. C’est pourquoi, j’ai décidé de poursuivre dans les règles d’honnêteté et de rigueur qui m’ont toujours guidé et qui me guideront encore. Mr le maire de Mâcon parle dans le JSL d’incompréhension dans ma démarche. Il devrait mieux comprendre en relisant puisqu’il fut sénateur, Article 432-15
Modifié par LOI n°2013-1117 du 6 décembre 2013 – art. 6
P.S. La photo d’archive paru dans le JSL portait sur l’investissement. Les sommes en question porte sur les budgets de fonctionnement de l’assainissement.
Gérard VOISIN