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Réponse à l’article du J.S.L. Texte remis au journaliste pour explications.

La confusion entre plusieurs plaintes que j’ai déposées aux Tribunaux administratifs et au TGI de Mâcon pour le pénal, ne permet pas d’éclairer la finalité de ma recherche de vérité qui est ainsi occultée. C’est pourquoi, contrairement à ce que profère mon successeur, je lui réponds que je n’ai qu’une signature, la preuve, c’est qu’il a ordonné le paiement par la ville de Charnay la somme de 242 000 euros sous la convention imposée par Mâcon et que j’ai effectivement signée lorsque j’étais maire. Cependant, il n’a pas payé semble-t-il, et je vais m’attacher à le démontrer, la somme de 941 500 euros qu’exigeait Mr Courtois en tant que Maire de Mâcon pour l’année précédente. Mr Andrès n’a pas cru intelligent de dénoncer cette convention exorbitante pour le fonctionnement, mais au contraire l’a re-validée en payant la deuxième année. N’étant plus maire et me le faisant savoir, je n’ai donc pas eu de deuxième signature, par contre, lui, a signé après avoir fait voter par son Conseil Municipal (hormis son opposition), une nouvelle convention pour annuler et remplacer la première dont tout le monde s’est aperçu enfin qu’elle était totalement écrasante pour Charnay et qu’il aurait du la faire annuler.

Mais, coup du sort pour Mr Andrés, cette nouvelle convention, pour annuler et remplacer la première en litige, pour être opérationnelle doit être votée à la virgule près par le Conseil Municipal de Mâcon et par le SITEAM alors présidé par Mr Patard. Or, ces deux collectivités n’ont jamais délibéré, donc pas voté cette nouvelle convention. Chaos Charnaysien avec le non paiement pour l’année suivante d’un montant annoncé de 434 000euros. Et ce comportement pourrait être répétitif, pour conduire a des sommes cumulées de plus de 2 000 000 d’euros. C’est hallucinant de mauvaise gestion. Je réfute à Mr Andrès la possibilité de « rester coi » vis à vis de moi. Personnellement je serai plus dur que « coi ». Ses errements, avec l’accord ou pas de Mr Courtois sont coupables à mes yeux et c’est un sentiment que je veux faire partager. Sans regret.

Quant à Mr Courtois qui avoue avoir dépensé avec Mr Andrès la somme de 25 000 euros, qui parle de gâchis et de ma démarche stupide, il ne devra pas s’étonner des reproches de ses contribuables lorsqu’ils s’apercevront qu’il a manipulé le processus, sans faire rentrer dans les caisses du percepteur des recettes pour la ville, pour des montants de cette importance. Il devait avoir bien peur de mes « stupidités » pour prendre des avocats aussi chers sur le dos des contribuables. Je lui fais remarquer que pour ma part, pendant deux ans, j’ai assuré l’essentiel de la procédure, avocat malgré moi, et que ses défenseurs n’ont même pas pu me faire débourser par les tribunaux, les 7 000 euros qu’ils voulaient à mes dépens.

Chacune et chacun comprendra que je ne peux au nom des contribuables de Mâcon et Charnay en rester là. C’est pourquoi, j’ai décidé de poursuivre dans les règles d’honnêteté et de rigueur qui m’ont toujours guidé et qui me guideront encore. Mr le maire de Mâcon parle dans le JSL d’incompréhension dans ma démarche. Il devrait mieux comprendre en relisant puisqu’il fut sénateur, Article 432-15

Modifié par LOI n°2013-1117 du 6 décembre 2013 – art. 6

P.S. La photo d’archive paru dans le JSL portait sur l’investissement. Les sommes en question porte sur les budgets de fonctionnement de l’assainissement.

Gérard VOISIN

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49.3 ou Dissolution ?

     Même quand on croit qu’il est tout près d’être obligé de dissoudre l’Assemblée Nationale, il réussit à sauver sa majorité. Ce n’est pas qu’il y tiens à celle-ci, au point où il en est. Il y a plus d’un an déjà, il avait un genou à terre . Et il s’était relevé, chanceux comme un chat sur le bord de la gouttière, ses soupirantes miaulantes lui donnant l’oxygène pour re-décoller en éternelle quête de reconquête de l’emploi d’abord, de l’économie ensuite. Il sait que le reste n’a plus d’importance pour sa survie Présidentielle.

    Aujourd’hui, balloté par des Nuits Debout, des luttes intestines entre ses ministres du premier rang, des groupes parlementaires de gauche qui lui enlèvent la confiance, dans une oscillation de 12 à 18% de Françaises et de Français qui croient encore un peu en lui. Assiette trop petite pour regagner un deuxième mandat et malgré tout il espère en doutant.

    La dernière loi entrée en discussion, loi sur le travail, censée freiner l’inexorable montée du chômage, est combattue par le monde du travail avec des manifestations de grande envergure qui se dérouleront à nouveaux le 12 mai, jour du premier vote de l’Assemblée qui dans un marathon de plus de 5 000 amendements dont l’essentiel est déposé par les députés de gauche.La trop longue marche pour aboutir à une mort annoncée débutera alors…

     Alors, 49.3 ou pas, les vibrations sont fortes. Cette arme détestée par la gauche est à la porte de ses élus. Valls l’imposera. Les députés de gauches particulièrement savent qu’en cas de dissolution ils seront peu nombreux à revenir au Palais Bourbon. Ils « avaleront » donc « l’arme fatale ». C.Q.F.D.

     Néanmoins, comme beaucoup de monde a oublié qu’un Président de la République Française peut dissoudre l’Assemblée à l’heure de son choix,y compris dans la dernière année de son mandat, François Hollande peut sacrifier le dernier rêve de son Premier Ministre et se refaire une santé personnelle avec une cohabitation d’avant dernière heure en jetant aux orties cet abominable et peu démocratique engin reproché aux gouvernements de droite.

     J’apprécierais ce scénario que j’attends depuis un certain temps comme étant inéluctable compte tenu de la très grande faiblesse du monarque républicain François Hollande. Mais je ne veux pas prendre mes rêves pour des réalités. Et le monde politique Français est aujourd’hui tellement fractionné qu’il est difficile de consolider dans l’esprit d’une issue certaine et belle pour la France. Attendons.

Gérard VOISIN

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Droit de réponse JSL

Je ne commenterai pas l’article paru le 4 mai 2016 paru dans le JSL et concernant les procès que j’ai intentés contre les maires de Mâcon et Charnay. Ce serait comme commenter un jugement de Tribunal, et cela ne se fait pas.

Par contre, comment croire ces gens qui ont pour l’un fait élire le Président Hollande, et pour les deux élire T Thévenoud ? Nous voici donc, arrivé au final et sans avoir réussi à faire annuler une convention scélérate à bien des points de vue. Elle doit être remplacée par une autre, déjà votée par le Conseil Municipal, mais pas par celui de Mâcon ni par le Siteam (vote à la virgule près pour les trois entités).

Il me reste donc après avoir échoué il est vrai et le dire pour faire plaisir à quelques uns, sur ces voies ardues des tribunaux, administratif et pénal, d’explorer une autre face du sommet à gravir. Il s’agit des aspects politiques, mais surtout comptables et financiers sur des budgets sincères que devront valider Monsieur le préfet de Saône et Loire, le Trésorier Payeur Général et les Receveurs Municipaux. Très habitué de la gestion des collectivités locales, je ne vois pas pour quelles raisons ils ne pourraient pas donner des éclairages pertinents.

La question est simple:

La ville de Charnay a-t-elle payé ou non une somme de 941 500 euros à la ville de Mâcon pour une facture de passage des eaux usées dans les canalisations de Mâcon pour finir épurés à la station d’épuration?

Sachant que pour l’année suivante (c’est comme un problème de calcul élémentaire…), le maire de Charnay Mr Andrès, a payé 242 000 euros pour la même raison, et pourquoi uniquement celle là.

Cependant, comme les années passent vite, l’année suivante, une facture de 434 000 euros n’est pas apparue aux budgets de la la ville de Charnay, ainsi probablement non payée. Et une année supplémentaire encore! Et jusqu’à quand ainsi ?

La note s’élèverait donc connue à hauteur de 1 617 500 euros, ce qui laisse supposer plus de 2 millions d’euros à la fin de l’année 2016. Ce n’est quand même pas une paille que l’on cache sous le tapis. Qu’on nous dise la vérité pour satisfaire à la légitime attention des contribuables de Charnay et de Mâcon, et que cela ne passe pas en pertes et profits politiques « d’arrangements entre amis qui ne le furent jamais auparavant ». J’ai besoin aussi de passer à autres choses.

Comme vous le voyez, l’équation est simple. Le résultat est du niveau du certificat d’études primaires. Et au risque de passer pour un de mes vieux instituteurs que j’ai toujours respectés, je ne lâcherai pas ce bâton de pèlerin que j’ai pris en main avant de quitter de mon propre choix ma ville de Charnay.

Le Sénat étant l’émanation et le défenseur des communes (et là, il s’agit bien de l’intérêt général des communes), je demande par courriers aux Sénateurs JP Emorine et Marie Mercier (qui a succédé après déchéance de son siège à Mr Courtois) de bien vouloir nous aider à trouver des réponses. Quant au Député qui est élu au suffrage universel, c’est aussi l’un de ses rôles de contrôle. Cependant, mon successeur temporaire, T Thevenoud n’a pas montré toutes les qualités requises. En la matière, très en difficultés à cause de ses « phobies », il a maintenant la réputation de ne pas vouloir ou savoir payer notamment ses impôts. Il aurait donc certainement des difficultés à voir clair sur ce raisonnement pourtant très élémentaire de qui doit quoi et qui paye quoi.

Un peu comme Raymond Souplex, allias le Commissaire Bourrel, « chansonnier » d’une époque pas si lointaine, vous verrez que rapidement maintenant, comme sur d’autres turpitudes en Mâconnais, nous pourrons lâcher son célèbre cri de résolution des problèmes: « Bon sang! Mais c’est bien sur »!

Gérard VOISIN

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Je vous pose la question ?

J’ai médité ce paragraphe que j’ai lu dans un article du Figaro concernant le comportement des leaders politiques Français:

« A contrario, ils auraient tout à gagner à prendre exemple sur Ronald Reagan. Le président américain de 1981 à 1988 ne s’embarrassait pas de chiffres dans ses campagnes électorales pour se faire comprendre. «Interrogez-vous: “Suis-je dans une meilleure situation qu’il y a quatre ans?”»,avait lancé Reagan aux électeurs, en 1980, pour stigmatiser son adversaire, le président Jimmy Carter, dont le bilan économique des quatre années (1977-1980) passées à la Maison-Blanche était peu glorieux. »

ET JE VOUS POSE LA QUESTION: « sommes nous dans une meilleure situation qu’en 2012 ? Ma campagne pour les législatives c’est aussi cela pour le niveau national et sur la 1ère circonscription. Sur la politique de la gauche au pouvoir jusqu’en 2017, c’est une catastrophe. Quant à la représentation nationale sur le Mâconnais/Clunisois, un effondrement total avec la perte du siège de Sénateur vers Chalon et au moins pour 4  ans, Et surtout en 2012, le mandat de Député que je détenais, et arraché comme tout le monde s’en souvient, « bizarrement » à la droite par Thomas Thévenoud dont le travail parlementaire fut réduit à néant par ses « phobies » , sa perte de ministère en 9 jours (record français battu…) et sa disparition sous la chasse de ses anciens amis Hollande, Valls et compagnie du P.S. Disparition prématurée et définitive, l’électorat et ses collègues ne peuvent lui pardonner ses légèretés, et moi la « tache » qu’il a fait en terme d’honneur sur l’Assemblée Nationale.

Voilà la situation. Vous aurez à coeur de m’aider à redonner de la sagesse sur notre belle région du Sud de la Saône et Loire, qui n’en finit pas d’être frappé par des pertes de crédibilité successives sur d’incroyables forfaits ! Et surtout,  participer à retrouver une majorité nationale forte à droite et au centre.

Gérard VOISIN

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Ah, ces histoires d’eaux…sales !

Madame, Monsieur,

Je remercie mon avocat de m’avoir transmis le résultat de l’appel qui vient d’être jugé à la Cour d’Appel Administrative de Lyon, suite aux poursuites que j’ai intentées. Pas vraiment gagné, sans avoir perdu. Cependant les vrais perdants sont les contribuables Charnaysiens qui ne savent toujours pas s’ils sont redevables de grosses sommes à la Ville de Mâcon pour ces années écoulées, et même pour le futur, puisque Mr Andrès ayant obtenu une majorité sur une nouvelle convention qui devait « régler »les problèmes, est inapplicable puisque non votée par le Conseil Municipal de Mâcon et par le Syndicat (SITEAM alors présidé par Mr Patard). Il est clair que la justice est un métier et les questions que j’ai pu poser devant les Tribunaux n’étaient pas en face des besoins juridiques pour l’emporter. Je ne suis pas avocat, ni habitué des prétoires, j’ai engagé les procédures pour ma Ville. Ainsi, restent deux questions sans réponse que je transmets aux Conseillers Municipaux d’oppositions de Charnay les Mâcon, afin qu’ils ne soient pas pris au dépourvu à l’heure de la reprise de la majorité en 2020:

1/ Il y a dette ou non due par la Ville de Charnay à la Ville de Mâcon en dehors des 242 000 euros payés par le maire Mr Andrès pour l’une des années de « convention eaux usées », aucun autre versement n’ayant été effectué où même provisionné sur le budget de la Ville de Charnay ?

2/ Mon engagement juridique et judiciaire au Tribunal Administratif de Dijon et au Tribunal de Grande Instance de Mâcon, gratuit pour mes ex-administrés,aurait vraisemblablement fait tomber l’essentiel de la soi-disant « dette » clamée entre les deux tours des élections municipales, à la sortie de la Mairie de Mâcon par les protagonistes. Celle ci porterait sur plus de 2 millions d’euros. Les contribuables Charnaysiens pourront alors me remercier d’avoir secoué les mensonges pour faire ainsi tomber par « arrangement entre amis », des sommes folles par rapport au service rendu, sachant que d’autres communes de la périphérie Mâconnaise n’ont pas été contraintes sous de tels agissements promus par Mr Courtois, maire de Mâcon.

Pas de nouvelle du TGI pour l’instant. J’aurais aimé que Madame la juge d’Instruction puisse au moins me faire savoir par écrit qu’elle prononce un non-lieu comme l’avait fait Madame la Procureur.

Il est évident que n’ayant pas été condamné à verser aux deux villes qui me réclamaient via les Tribunaux 7 000 euros, c’est une victoire de fait, et me permet de continuer mes combats contre l’absurde et la recherche de vérité dans ce monde politique plutôt déshonoré en ce moment en Mâconnais. Autres évidences, c’est que maintenant que l’affaire est ainsi jugé, du moins sur l’instant à l’Administratif, je dois m’emparer politiquement  des questions sans réponse pendant les campagnes des législatives 2017 particulièrement, ainsi que celle des primaires de la droite et du centre. J’attends également pour cela que les médias veuillent bien évoquer que ces « personnalités » ne sont pas tombés sur ma poussée… Et faire admettre qu’il est plus payant de mentir en période électorale que de rechercher honnêtement des culpabilités en aval et pendant plus de deux ans.

Une façon aussi d’alléger les peines subies depuis quelques temps par le petit cercle des élus de la 1ère circonscription de Saône et Loire … Une sorte de solidarité sans condescendance dans ce monde brutal que celui de la politique. Ces procès restant malgré tout pour moi dans le contexte de l’administration propre des communes.

Gérard VOISIN

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Un mandat de transition-2017-2022, ou avant…

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Cinq ans sont si vite passés, qu’il est urgent de bien réfléchir à l’utilité sur le fond et sur la forme,d’un mandat parlementaire dans les conditions nationales et locales que nous ne pouvons nier à l’ouverture de la campagne législative de 2017. Eviter de grossir les dégâts occasionnés ces dernières années doit être l’obligation de la droite et de la gauche dans la première circonscription de Saône et Loire, celle du Mâconnais/Clunisois. Celle-ci risque d’être totalement déstabilisée pour plusieurs décennies si les partis se voilent la face pour le futur. Mâcon municipal panse ses plaies de représentations locale et parlementaire à droite.

A gauche, PS, avec surtout une descente aux enfers initiée par l' »ex-futur ministre » d’un jour (en fait neuf…) qui par ses « légèretés » a indisposé tout le monde, de son ami François Hollande Président socialiste de la République, ses collègues parlementaires, élus locaux et surtout un électorat qui, tout en se taisant, refusera d’apporter ses suffrages à un « phobique » chronique qui a trompé tout le monde.

L’affaire est close, pour lui ?Non! Et sa reconduction semble compromise par les reliquats de ses « phobies », par les velléités qui émergent des socialistes de la circonscription et de la Fédération socialiste départementale. Mais qui pour remplacer Thévenoud le voyageur? Le personnel politique est restreint de ce côté là. Peu d’apparition d’envergure parlementaire, ce qui laisse de l’espoir à T Thévenoud. Ce n’est pas pour me déplaire, ma campagne s’axant contre la désinvolture, contre les excès et turpitudes, les tromperies d’un député d’une grande légèreté. Je suis pour les DEVOIRS de la charge.

A droite, également peu d’émergences nouvelles, le premier adjoint Mâconnais déchu qui était prévu pour une candidature aux législatives se trouve dépourvu, d’autant que celle qu’il avait remplacée avant de tomber, est candidate elle même au grand dam du sénateur qui ne l’est plus. Celui-ci cherche sa voie pour retourner au Sénat où à défaut, retrouver « autres » sièges politiques. La meilleure solution pour lui, qui je le sais, aime le Sénat. Mais Marie Mercier n’entend surement pas démissionner et provoquer grâce à d’autres démissions, une élection sénatoriale partielle sur l’ensemble de la Saône et Loire. La fin d’inéligibilité approche…

Alors partir aux législatives? Dangers connus, on passe parfois de l’Assemblée au Sénat…L’inverse est beaucoup plus difficile, surtout lorsqu’un candidat qui comme moi ne s’est pas arrêté pendant le mandat d’où il est sorti battu (parce que certains de ses ex-amis l’avaient décidé…) mais pas déchu, a sur son comité de soutien toute la population nécessaire pour gagner à nouveau ou envoyer au tapis les plus téméraires de ses adversaires.

Alors la conclusion est bien de SAVOIR que si j’étais réélu, la pause nécessaire pour arrêter le feu qui couve en cette terre brûlée, permettrait de retrouver au plus tôt une sérénité politique et repartir en 2022 ou AVANT, pour un long temps de gouvernance qui ne soit plus brouillé par des chamailleries coupables qui vont au delà  de la seule représentation nationale. Communes, cantons, intercommunalités sont également fragilisés en Mâconnais/Clunisois.

UNE PAUSE S’IMPOSE. JE LA GERERAI

Gérard VOISIN

Député honoraire de la 1ére circonscription de Saône et Loire

« LES REPUBLICAINS »

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COMITE DE SOUTIEN A GERARD VOISIN-Législatives Juin 2017

Madame, Monsieur, Chers Amis,

Les élections à la Présidence de la République en 2017 seront suivies par un renouvellement de l’ASSEMBLEE NATIONALE. Accompagné par de nombreux amis, après avoir continué chaque semaine depuis 2012 à travailler dans l’ambiance du Palais Bourbon, mais aussi sur le territoire Français, j’ai décidé d’être le candidat LEGITIME de la DROITE ET DU CENTRE pour la 1ère Circonscription de Saône et Loire.

D’aucuns diront que c’est à leur tour. Mais si la légitimité est toujours de rigueur en ma faveur, c’est bien parce que ces prétendants improbables se sont eux mêmes disqualifiés en 2012 en faisant perdre le siège de la droite au profits usurpés de Mr Thévenoud, socialiste. Aujourd’hui disqualifié lui-même par ses « phobies », il doit disparaitre du Parlement Français, repoussé par ses propres amis politiques et dont beaucoup d’ailleurs n’hésiteront pas à me voter.

Les dégâts occasionnés au sein du personnel politique de la Circonscription tant à gauche qu’à droite dans l’espace politique du Mâconnais-Clunisois, ont discrédité les postulants potentiels. Rejoindre l’Assemblée Nationale n’est pas une mince affaire, et il faudra montrer mains blanches et vides de tâches qui ouvrent répulsions de l’électorat.

Mes collègues Députés du Groupe Les Républicains, précédemment Groupe U.M.P. m’ont conservé leur confiance. Certains Sénateurs également. Elus locaux,et surtout une reconnaissance persistante et fiable de la population des électrices et des électeurs, urbains et ruraux me confirment le bien-fondé de ma candidature.

J’aurai l’occasion de proposer une suppléance adaptée au futur, par une association avec une jeune personnalité politique qui sera ainsi sur une rampe de lancement, gage d’avenir et de continuité d’un siège occupé par la droite et le centre, et faire oublier cet intermède désagréable d’un socialisme national dévastateur et localement « fantaisiste » pour le moins…

J’ouvrirai au jour près mon compte de campagne par respect pour la régularité de la gestion statutaire, et éviter des irrégularités financières qui ont fait tant de dégâts autour de nous par légèreté coupable pour notre famille politique qui en a fait les frais.

Je n’entends pas gaspiller l’argent au cours de cette campagne, et mon équipe financière, mandataire, est choisie sur des critères qui ont toujours guidés mes gestions d’élu local, en tant que Maire de Charnay, Conseiller Général de Mâcon ou bien encore en tant que Président de la Camval. Mon vécu de Député de la République m’invite à un contrôle permanent de la lucidité de gestion qui a tant fait défaut à mon successeur que je veux bouter hors les murs de la représentation nationale.

Pour synthétiser, je ne laisserai à personne la charge de rétablir la situation précédente, dans la mesure où je récuse le droit à celles et ceux qui se sont ligués « contre nature » et ont réussi à aider la perte du siège, le droit de briguer le siège de Député.

Je ne suis pas contre le rajeunissement de la représentation politique. Je veux être un « passeur », témoin et acteur d’une reprise de la transparence, de la propreté du monde politique qui vient de perdre tant de crédit par l’addition d’erreurs consécutives et délibérées à gauche comme à droite. D’ailleurs, un certain nombre « d’affaires » que je suis pour le bien commun ne sont pas arrivées à conclusion.

Compétence et probité, connaissance de la Circonscription, du fonctionnement des collectivités locales et de la vie parlementaire Française, de la complexité Européenne par ma Vice-présidence de la Commission Européenne à l’Assemblée Nationale. Voilà mes propositions rapidement exprimées. Mon programme de mandature sera à disposition dès le début de ma campagne qui montera en puissance dans les mois à venir.

Je compte sur vous pour me faire connaitre vos possibilités amicales de soutien, à la mesure de vos moyens et de vos envies.

Merci de m’avoir lu, et dans l’attente d’un geste, d’une parole, d’un support pour concrétiser la reconquête de la décence de notre Circonscription par ma participation à une majorité forte sans laquelle la France ne pourra se redresser pour le bien de tous, et à commencer par les plus défavorisés.

Avec mon entier dévouement, et sur de votre appui, je vous présente mes très sincères salutations.

Gérard VOISIN

Député Honoraire (temporaire) de la 1ère Circonscription de Saône et Loire

 

 

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Faites vos jeux…Rien ne va plus !

Faites vos jeux…Rien ne va plus. Rien ne va plus dans la 1ère circonscription de Saône et Loire, celle du Mâconnais Clunisois. Le jeu de la roulette a fait des victimes conséquentes en quantité et en qualité.

La représentation nationale est la plus sanctionnée et les pertes sont totales. Sénat et Assemblée Nationale sont « hors jeu ». Alors que la politique n’est pas un jeu, le siège de Sénateur s’est envolé vers le Chalonnais, définitivement jusqu’à la fin du mandat d’ici plusieurs années, laissant une inéligibilité peu glorieuse. Quant à celui de Député, il est en errance, suspendu à une littérature de « phobies ou de folies » pour le stabiliser à gauche dans la meilleure circonscription politique de droite du département de Saône et Loire.

Et si rien ne va plus, c’est aussi du aux alliances contre nature qu’a engendré l’exécutif de la Ville Préfecture, principalement son maire. A jouer avec le feu, au delà de ces sièges majeurs, inéligibilités, déchéances officialisées ou non, la perte des gains passés s’est portée sur les sièges locaux.

Le fractionnement qui était latent et devenu patent. Les dérives nombreuses privent de solidité un mandat municipal qui jadis était affirmé. Les acteurs municipaux majeurs ne peuvent plus concourir à consolider un bilan qui fut flatteur car bien présenté. S’entourer de la force par l’irréprochable est devenu vain pour la fin de ce mandat. Surfer sur un bilan de surcroit trompeur pour prolonger des mandats ou en acquérir d’autres, n’est plus possible aujourd’hui. Il faudra se rendre à la raison, y compris sur la sphère élargie de l’intercommunalité, surtout lorsque certain l’a combattue ardemment.

Vouloir tout détenir et parvenir à ses fins, « la puissance et la gloire pour les siècles des siècles » est périssable en ce bas monde. Il faut le savoir et l’admettre. Des pauses sont nécessaires lorsque l’on s’aperçoit que trop manger apporte l’indigestion, surtout lorsque les produits choisis ne sont que les pales reflets, ou les minces doublures cooptées pour faire du nombre. Donc des voix pour régner en parfait despote jusqu’au jour où, justement la bille de la roulette sort du jeu.

A quoi assiste t’on alors? L’incapacité à reconstruire sans mensonge des majorités disjointes car chacune et chacun veut la meilleure part sur les autres alors que les incapacités augmentent avec la boulimie de quelques uns ou quelques unes. La fin d’un cycle s’affirme alors avec l’apparition de turpitudes ou de faiblesses bien cachées.

Il faut alors DEMISSIONNER tout cela, à défaut de hisser le drapeau blanc ou de figurer une croix rouge. On ne « tire pas sur une ambulance ». C’est bien connu mais les temps ont changé et il faut prendre des précautions dans ce monde tourmenté de toutes parts. On « tire encore moins sur un corbillard », certes! Néanmoins, celles et ceux qui pensent, surtout les plus jeunes, que quelques individus politiques ont perdu leurs « rectitudes » physique et intellectuelle, fassent bien attention. Tant que les raideurs sont là, c’est preuve de vie intense. Et reprendre la vielle expression « le cadavre bougeait toujours ». Pour savoir, il faut pouvoir suivre la méthode utilisées par les pionniers des pompes funèbres: les célèbres « croque-morts ». Ils mordaient les orteils des supposés défunts. Ils avaient justement des surprises. Il est sur qu’aujourd’hui dans la Maison Borniol, il sera temps de se renseigner sur la réelle santé politique de celui qui possède l’intégralité de ses rectitudes…En revanche, pour bien connaitre le personnel politique, il sera difficile d’approcher ses orteils. Tout simplement difficile déjà de lui marcher sur les doigts de pieds…

Gérard VOISIN

Candidat aux législatives de 2017

Président de « LES REPUBLICAINS »

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Lettre à un élu dans la tourmente. Comment s’en libérer.

Lorsque le vent tourne, il souffle le chaud ou le froid. Quand il change de direction, souvent il balaye les feuilles mortes et il se peut qu’elles se ramassent à la pelle… En politique c’est la même chose, sauf que ce sont des hommes qui sont emportés par la tourmente.

Un vent mauvais pour la sérénité politique vient de secouer l’un des maillons du cercle politicien de la circonscription de Mâcon. Amplement chahuté à gauche avec les scandaleuses phobies ou petites folies du député socialiste Thévenoud,c’est au tour de la droite de produire des maillons faibles, entre déchéance parlementaire, déchéances municipales et communautaires, irrégularités de listes électorales…

Sous un statut « mixte », une nouvelle peine s’est abattue sur le cercle vertueux de la représentation politique locale. Affaire jugée, via une institution para-publique, le couperet de la justice pénale envoie un mauvais signal à l’adjoint aux finances de la ville de Mâcon qui est également Président de la Communauté d’Agglomération du Mâconnais Val de Saône, Claude Patard. Le silence traditionnel du Mâconnais, l’omerta en Sud-Bourgogne ne peut plus être, au risque de décrédibiliser l’excellente réputation que nous avions forgé sur cette partie de la Saône et Loire.

Longtemps la corde s’est effilochée. Elle est cassée, au moment où toute la France s’effiloche elle aussi dangereusement, par les erreurs de trop d’élus et de mauvaise gouvernance.

Aussi, ce n’est pas acharnement mais impératif retour à bonne conduite, après trébuchements personnels ou mauvais arrangements entre amis, que demander des situations claires. Il y a les éradications naturelles par voies électorales. Elles se produiront. Il y en a d’autres qui doivent se faire spontanément, personnellement pour l’honneur. Ne pas trainer son propre boulet avant qu’il ne devienne le boulet de tous comme l’a si bien démontrée l’affaire Thévenoud.

Je sais ce qu’il en coûte de quitter une belle entité de gestion des collectivités territoriales. Surtout lorsque vous n’avez rien à vous reprocher et que seul le « délit de sale nom » commande à certains de vous « déposer » comme je le fus avec mes proches il y a quelques années. Je n’en veux pas à celui qui n’était que le bénéficiaire mais pas l’exécuteur des « basses oeuvres ». Il en va ainsi de la vie politique, cruelle mais qu’il faut admettre.

Ce n’est donc pas jeter l’anathème sur qui que ce soit, ou être dans la revanche imbécile, que de donner un conseil. Celui de partir avant que les vieux démons politiciens s’entremêlent et ne soient que de mauvais conseils, aggravant une nébuleuse déjà conséquente sur notre belle région.

Mais, ce n’est qu’un conseil de sage qui, contemporain ne veut ni ne peut prendre la place que beaucoup convoitent. Avec quelques amis j’ai créé ce fauteuil. Je tiens à sa respectabilité compte tenu des enjeux intercommunaux à venir. Je suis atterré devant ces catastrophes successives, cependant des choix personnels ont créés les situations. Surtout la dernière en date. La gauche elle aussi s’est mise à l’abri du vent. Ce n’est pas respectable dans de mauvais calculs stratégiques seulement digne de la Quatrième République. Préserver Claude Patard pour éviter Monsieur Courtois? Quelle stratégie!

Il n’y a que vous Monsieur le Président Claude Patard pour trancher ce noeud Gordien. Tranchez le, vous n’en serez que libéré et heureux. Du moins je vous le souhaite sincèrement. Ne faites pas du Thévenoud qui soi disant n’ouvrait pas ses enveloppes: ouvrez les yeux, ouvrez la fenêtre, évadez vous du carcan. Démissionnez.

Gérard Voisin

Président « LES REPUBLICAINS »

Président-fondateur de la CAMVAL

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Les cerisiers du Japon en fleurs, après Copé en campagne

Une semaine Pascale pour goûter la contemplation des cerisiers en fleurs fin mars, début avril au Japon, moment institutionnel qui fait partie intégrante de la sagesse Nippone, un moment inoubliable. Je l’attendais avec impatience pour retrouver la famille expatriée, la découverte du dernier né des petits Voisin. L’impatience également de ressentir à nouveau la zen attitude du Pays du Soleil Levant où l’on peut puiser cette transparente sérénité, en rapporter un peu dans notre engagement politique français, si brutal dans notre pays.

Nous avons la chance avec l’âge, d’être pétri de cette sagesse très nécessaire avec la jeunesse pour préparer le pain quotidien de la démocratie. Mon sentiment est celui des fusions de générations pour bien gouverner la France. Exclure les vieux parce qu’ils sont vieux, rejeter les jeunes car ils ne seraient pas matures est une profonde erreur trop longtemps perpétrée dans notre pays.

Nous ouvrons à Droite et au centre le long chemin des « primaires » pour aboutir en fin d’année 2016 au podium qui conduira les chances du lauréat de cette nouvelle définition empruntée à la gauche en 2012. C’est dans ce cadre que j’ai reçu la semaine dernière l’un de ces candidats, de concert avec le Député de l’Ain, Michel Voisin mon honorable cousin germain en Mâconnais-Val de Saône. Rive droite avec les vins du Mâconnais de cette resplendissante Bourgogne du Sud, Rive Gauche avec les poulets de Bresse à pattes bleues. Jean-François COPE, puisque c’est lui qui était notre invité dans le cadre de l’une de ses premières visites en nos provinces après son acte de candidature à l’élection Présidentielle. Cet homme de grandes capacités politiques rayonne quand il est en campagne. Homme fidèle en amitié, de grande capacité d’écoute est indéniablement un homme de fermeté comme peu de candidats pourront le proposer au peuple Français.

L’homme, comme sa devise, « ne recule pas » et ne reculera pas. Il vient de passer des mois pénibles sous des luttes intestines. Ces dernières années, sa proximité ma galvanisé en tant que Président du groupe UMP à l’Assemblée Nationale, mais aussi en étant le patron du parti, avant l’avénement de Les Républicains. Bouc émissaire secoué par ses propres amis, il a su mettre de la distance entre l’apocalypse qu’il a vécu et cette zénitude qu’il vit aujourd’hui, balayant les mauvais influx qui lui permettront de mettre à bas tout ce qui peut décourager un candidat de cette nouvelle longue marche qui va produire plusieurs portions du parti avant le rassemblement de cette découpe que l’on doit espérer sereine et réglementée.

J’avais été impressionné pendant sa prise de direction du plus grand parti de France. Je sais quelle était la réalité avant l’explosion, et je sais pour l’avoir déjà accueilli lors de son tour de France pour emporter une victoire dans une remontée de ses sondages, combien à l’époque il était dans les bas fonds d’où personne ne le voyait arriver. Sauf ses fidèles évidemment et dont j’étais déjà. Il fait fi aujourd’hui également, tant de mois à l’avance, de pourcentages bas. Ses concurrents sont partis il y a bien longtemps. Mais cet homme de puissante réserve se classant volontiers Bonapartiste, comblera ce premier fossé au fils des jours. Je n’aime pas la victimisation, mais par contre je ne supporte pas les malentendus et les mauvaises manières. J’ai confiance quant aux résultats qu’il obtiendra d’abord en novembre. Et puis après. J’aime ce challenge  pour lui, pour nous ses amis, et surtout pour la France.

J’aime ce challenge pour les prochaines législatives qui suivront l’élection du Président de la République. J’aime à me replonger en toute légitimité dans cette élection pour redonner de l’honneur au siège de député de la circonscription du Mâconnais que Monsieur Thévenoud a emporté avec ses turpitudes. Une terre brûlée à droite et à gauche, bafouée au niveau de la représentation nationale, mais aussi plus bas. Si j’écris un livre, après tout pourquoi pas, je le publierais sous le titre des voyous locaux de la République. Un mal qui ronge la démocratie. Les Françaises et les Français veulent un retour à l’authentique. Nous allons leur en donner, en chassant les vieux démons qui rodent.

J’aime le candidat que je soutiens, Jf Copé car il est authentique. J’ose le dire, je suis authentique et définitivement. Je veux entrainer avec moi une jeunesse de l’authenticité pour le futur de nos majorités retrouvées.

Nous vous attendons pour gravir ce chemin difficile, rendu dangereux à souhait par une gauche empêtrée de médiocrité, battue en brèche par une large part de sa propre majorité.

Nous vous attendons, déterminés, pour redonner ses chances à la France, pour redonner une chance à toute la nation Française.

 

Gérard VOISIN

Référent Saône et Loire/Jean-François COPE-Primaires de la Droite et du centre

Candidat aux élections législatives de 2017/ 1ère Circonscription de Saône et Loire