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« On ne recule plus »… avec Jean-François Copé !

12884535_492101284316385_1818971274_nMadame, Monsieur, chers amis,

Jean-François COPE a ouvert son tour de France pour visiter toutes les Régions de France, au plus près des Françaises et des Français. Partout en France comme il l’a déjà fait par le passé en conduisant l’UMP, il sera au plus près de la population.

J’ai eu le plaisir de l’accueillir en Mâconnais-Val de Saône, en compagnie de Michel Voisin Député de l’Ain pour une journée sur les sujets agricoles et viticoles. Il reviendra pendant cette longue marche qu’est la « primaire Les Républicains de la droite et du centre » en vue de la désignation du candidat à la Présidence de la République. Le 1er tour aura lieu le dimanche 20 novembre. Le 2ème tour, s’il y a lieu, le dimanche 27 novembre.

Il est convenu avec lui qu’il parcourera la Saône et Loire une deuxième fois pendant cette campagne tant est varié notre département. IL M’A FAIT L’HONNEUR et LE PLAISIR d’être son REFERENT départemental de  la CAMPAGNE pour la Saône et Loire. Je le remercie de sa confiance et de sa fidélité à mon égard.

Dans ce rôle fondamental, il m’incombe:

-de rassembler les parrainages nécessaires d’élus locaux et d’adhérents LES REPUBLICAINS

-de relayer sur le terrain le PROJET et la PAROLE de Jf COPE

-de CONVAINCRE les électeurs potentiels de VOTER pour lui car il est le seul candidat à incarner la DROITE DECOMPLEXEE.

Notre objectif prioritaire est le MAILLAGE TERRITORIAL et la constitution de COMITES DE SOUTIEN LOCAUX.

Une personnalité est dores et déjà prête sur chaque CIRCONSCRIPTION LEGISLATIVE à accueillir celles et ceux qui voudront bien déployer avec nous notre présence sur le terrain. Il s’agit évidemment de travailler à la réussite de cette première primaire de notre famille politique. Mais il s’agit également, ensuite, de donner UNE MAJORITE PARLEMENTAIRE à l’Assemblée Nationale.

Avec un mot d’ordre, « ON NE RECULE PLUS ! ». Son projet pour LA FRANCE est largement présenté dans son dernier livre, « Le SURSAUT FRANCAIS ».

 

1ère circonscription     Mâcon

2ème circonscription   Charolles

3ème circonscription   Autun/Le Creusot

4ème circonscription   Bresse Louhannaise

5ème circonscription   Chalon/Montceau

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Quelle odeur cette année au Salon ?

D’agriculture encore…Mais ce salon renifle une persistante odeur politique jamais égalée qui serait saine à respirer si l’agriculture Française se portait bien et que la surenchère d’heures passées par les élus-candidats de gauche, puis de droite ou du centre permettent d’espérer que nos agriculteurs retrouvent leur bonheur d’antan. Celui qui faisait plaisir à voir lorsque nous étions sur le podium des pays nourriciers du monde. Las, trois fois hélas, nous voici relégués en cinquième division…

La faute à qui? Mais à tout le monde, et à nous surtout! L’Europe « forcément ». Mais forcément la notre prioritairement, car tout a glissé par notre laxisme et les mains molles de nos gouvernants. De mains fermes, point ! 2017 devra nous la donner, verte et solide. L’actuelle ministre fait partie de ces ministres polyvalents car politiques. Ce gouvernement Valls remanié en est l’exemple parfait. Et le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, qui n’eut pas la tête coupée, est d’abord un verbeux en partageant ses prérogatives avant tout de Porte-parole du Gouvernement, avec l’agriculture. Il faut de vrais spécialistes à la tête de nos ministères, sous peine de racornissement de la puissance ministérielle au profit d’usurpateurs de décisions, via les hauts fonctionnaires européens ou français.

Alors, le salon de l’agriculture à la Porte de Versailles serait devenu un pourvoyeur de Président de la République, de 1er Ministre, de Ministres ou Secrétaire d’Etat ? La gauche s’est faite conspuer, insulter. Normal, puisque nos paysans sont dans un profond désespoir, sont majoritairement de droite, et de plus en plus d’extrême droite. La gauche n’a pas de chance, ses leaders se noient si près du port… Mais « ma » droite et « mon » centre devraient bien se méfier car l’extrême droite est aux portes, non pas seulement du Salon de l’agriculture, mais de celles du Palais ! 2016, année de transition dans ses débuts, mais charnière sur sa fin pour faire émerger une nouvelle politique a concentré à Paris, un nombre jamais égalé de responsables politiques du haut niveau. Presque tous les prétendants sont venus. L’un d’eux a passé trois jours « au cul des vaches », d’autres ont forcé leur faible attirance des bêtes et de la culture, pressés par le temps qui courent en ces primaires, déclarés ou pas, ils courent également ce marathon que l’on dit incontournable. Mais nous ne sommes plus à l’ère Chirac qui bénéficiait de cette bonne odeur et des bienfaits de ce type de campagne à l’annuelle éphémère « plus grande ferme du monde ».

Je dis à mes amis, et aux autres, des Républicains ou de l’UDI que les méthodes des campagnes ont considérablement changé. Avec un paradoxe, c’est que les réseaux sociaux sont les parfaits nouveaux vecteurs électoraux, donc modernisation du médiatique à tous les niveaux. Mais paradoxe, c’est qu’avec ces avancées modernes, est revenu le temps du retour des campagnes à la campagne, mais pas en cravate et chaussures fines de ville…Bottes de rigueur aux pieds ou dans le coffre de la voiture au cas où… Elevages en tous genres, cultures, vignes, volailles, céréales, viniculture, industrie agroalimentaire, transformation au plus près des lieux de production et de distribution… « Tout est bon dans le cochon » disait-on ! Formule lapidaire, certes. Mais il fallait « y »voir pour « y » croire dans nos contrées! Un peu à l’image de l’histoire du comédien Fernand Raynaud, « Si vous passez par nos montagnes, demandez un dénommé Crésus… ». C’était différent, mais c’était du bon temps.

Personnellement, je suivrai le leader Les Républicains » que j’ai choisi d’accompagner parce que c’est un homme politique fidèle et intelligent, qui ne m’a jamais déçu même aux heures où ses « amis » voulaient l’enterrer, et nous avec d’ailleurs,  dans cette campagne de terrain. Non seulement le suivre, mais aussi lui ouvrir les portes de nos régions, à lui, habitué du Tour de France des régions, des élus et de la République. L’aider à être sur le podium de mon camp en novembre, un petit peu chaque jour, et notamment le 17 mars en Mâconnais-Val de Saône pour un approfondissement des sujets agricoles. Avec mes collègues et amis, en rive droite et en rive gauche, de part et d’autre de cette rivière Saône, large et tranquille, à un tel point que Jules César se posait la question du sens où elle coulait. Elle glisse tout droit vers le Sud en direction de Lyon, bien que ce Mâconnais « tire » principalement du côté droit…

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La Sagesse du Guerrier

Il est vrai que je suis de ceux qui pensent que nous sommes dans une phase critique en Saône et Loire sur les leadership aussi bien à droite qu’à gauche. Le Maire de Chalon, quadragénaire, m’a semblé être dans les caractéristiques requises, et personne ne peut dire que je n’étais pas dans les premiers à croire que la victoire à Chalon passait par la triangulation qui a été choisie.

C’est fait. Après, j’ai demandé publiquement à Gilles Platret de prendre ce leadership UMP via Facebook d’ailleurs, et il m’a été répondu que seule la Ville de Chalon devait être son plan de travail compte tenu de la lourde charge. Mais le temps passe vite, les élections internes ont été retardées abondamment par Paris, et la non gestion a duré plus de trois ans. La difficulté aujourd’hui n’est pas imputable à Gilles. Cependant, les négociations pour diverses investitures ne sont connues que de quelques uns, et ne se sont pas faites dans le contexte d’un bureau départemental conséquent comme nous les connaissions sous Dominique Perben par exemple ou René Beaumont.

Ce que pour ma part j’ai demandé à Gilles Platret, avant l’élection dont il était le seul candidat, en tête à tête, c’est de s’entourer en faisant fi du passé, des déchirements passés,des suspensions, des exclusions sur délits de « sales noms » ou d’incompatibilités en tous genres au temps de l’UMP, lui des Républicains. C’est souhaiter rassembler toutes les forces et compétences. Et ceci pour une raison très simple et cependant terriblement évidente… C’est l’urgence en table ronde à défaut de bureau, des représentations des diverses personnalités qui seront sur la ligne de départ des « primaires », pour donner de la force au mouvement et gagner 2017, en évitant les mains mises en faveur de tel ou tel candidat au détriment des autres.

Ma réponse à votre question est que tout est possible en ce qui concerne Gilles.Il a été élu Président et si aucun recours n’a été déposé, certaines anomalies n’engagent pas la validité de cette présidence. Mais c’est à la condition de force et de volonté de contrôle de la collégialité des Républicains 71. Pour ma part,même si l’imbroglio que nous avons connu et qui semble persister, je n’ai aucun problème et je le dis pour ceux qui pourraient penser que je suis l’un des problèmes. Mon courrier à Gilles est prêt, alors que j’attends toujours la position d’amis qui sentent les choses comme je les évalues. Pour finir, j’ai une chance, certain diront un coup d’avance: l’appellation quoi qu’il arrive de « LES REPUBLICAINS ». Il prime juridiquement partout en Saône et Loire comme en France dans son utilisation!

Ce n’est pas David contre Goliath. Ma fronde n’est pas assez puissante. C’est une petite force parallèle, et c’est mieux qu’une épine dans le pieds. A méditer, et à chacun de choisir.

Gérard VOISIN

Député du Groupe UDF, puis UMP de 1993 à 2012, sans interruption. Siège de droite perdu au profit de la gauche pour Monsieur Thévenoud… et voir ce qu’il en a fait! MAIS LE TEMPS EST VENU POUR MOI D’OUBLIER LE GOUT DE LA TRAHISON D’UNE PARTIE DE MA FAMILLE POLITIQUE.

Président du parti « LES REPUBLICAINS »,

mais également largement à jour de mes cotisations à l’UMP et Les Républicains

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Un échec de plus Monseigneur !

Touchez ma bosse Monseigneur… mais les carottes sont cuites! A gauche comme à droite, tout le monde à compris que les navettes entre l’Assemblée Nationale et le Sénat ne permettront pas au Monarque Républicain de retourner à Versailles en carrosse doré. Les Françaises et les Français réclament de la sécurité. Il ne faut pas leur mentir via des pantomimes grossières que n’auraient pas pu écrire les pamphlétaires les plus redoutables du siècle de Louis le Quatorzième. Le Roi est nu. Le vote de mercredi à l’Assemblée Nationale ne change rien, même si les 3/5 qui seraient requis à Versailles pour la révision constitutionnelle n’ont été dépassés que de 7 voix. 317 voix « pour », il en fallait 310. Maigre collecte…

Alors maintenant il faut leur dire à nos compatriotes quelle est la réalité. Au milieu des décombres d’imbroglios, la majorité du Sénat votera un texte différent en rendant les trois cinquièmes hors de portée du couple exécutif pour cette révision qui ne sert à rien sauf son affichage qui vaut cher à leurs yeux. Les françaises et les Français, nous leur devons la vérité, et le but est déjà atteint, la République a déjà pris ses dispositions. Le superfétatoire n’est pas digne en ces circonstances tragiques et donc indigne de gribouiller la Constitution.

Ne prenant pas la direction de Versailles, le monarque Républicain sera tenté de fuir avec sa famille politique du côté de « Varennes ». Ceux qui calculaient à droite que sauver le monarque de gauche les ferait grandir en prévision des grandes échéances électorales se trompent, car voter « pour » c’est se diluer dans ce grand magma dont beaucoup de politiciens de gauche et de droite tombés dedans disent maintenant qu’ils sont hostiles à une réforme qui « ne sert à rien ».

Alors, fouette cocher! Ne pas l’arrêter au relais de poste. Sinon c’est le faire revenir à l’Elysée. Il est préférable qu’il s’en aille tout seul… Souvenons nous que Louis XVI fut guillotiné pour rien. Il est inutile de récidiver deux siècles plus tard. Que Monsieur Hollande en 2017 reparte de son propre chef pour rejoindre ses prédécesseurs au Conseil Constitutionnel. Avec la tête sur les épaules…

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« Ah, ces chères Primaires »!

Combien coûteront elles ces chères primaires que nous ne voulions pas vraiment afin de ne pas « singer » la gauche et surtout le Parti Socialiste ? Recommenceront ils cette erreur historique de l’avénement de Monsieur Hollande venant s’échouer comme une baleine sur une plage peuplée de méduses. A cette heure et contre toute attente, mais poussés par la faiblesse du monarque républicain, c’est en bonne voie, bien que ce ne soit pas sous la Cinquième République, le choix qui consiste logiquement à tenter de faire poursuivre le tenant du titre son mandat en cours.

Les difficultés maintenant sont au grand jour chez les socialistes et chez les Républicains. Il ne fallait pas commencer pour chercher le chef de 2012, de recourir à cette forme de primaires qui ne sont pas à l’Américaine, sauf le show télévisé dont les partis ne peuvent plus se passer, tant la communication démultiplie à la vitesse de la foudre, les mots, phrases, images de tous les potentiels acteurs de différents niveaux pour grimper sur un podium, qu’il soit rose ou bleu.Le Front National ne pratique pas le même culte.

La course est ouverte, non pas au claquement sec d’un pistolet sur le bord d’une piste d’athlétisme, mais à la forme des courses hippiques où les chevaux rangés derrière une large barrière portée par un véhicule, prennent de la vitesse et sont ensuite lâchés par le cheval de feu qui les libèrent en prenant grande vitesse avant de sortir de la piste en herbe ou en cendrée…

Eh bien, nous y sommes, surtout à droite et peut être au centre. Alors, combien seront ils au départ? Beaucoup trop évidemment! Mais la démocratie ne peut juguler un trop plein de candidatures. Combien seront ils à l’arrivée? Un seul et ses deux assesseurs. Ceux-ci auront su nager et se verront remettre un trophée moins prestigieux qu’une place en finale devant Marine, peut être. Mais ils s’assureront quand même de sièges de premier rang quel que soit le résultat de leur champion.

Aussi, si Hollande n’est pas encore acculé au bastingage du bateau qui godille, Sarkozy est cerné par les matelots dont le meneur actuel de la meute n’est autre qu’un « vieux briscard » qui connait la musique! Juppé, Fillon, Le Maire, Mariton et N Morano, d’autres déjà perdus en route, cherche les signatures des parlementaires « Républicains », en nombre suffisants. Arriveront ils, comme les premiers cités, à passer ce premier gué? Pas évident. Mais d’autres arrivants font que nous ne manquerons pas de talents. Parmi ceux-ci, Jean-François Copé qui ne claironnera pas son arrivée avant l’heure, a entamé un retour après les entourloupettes que lui ont fait quelques uns de nos amis. Les livres qui sont arrivés en librairies seront utiles, car ils contiennent, outres les cheminement personnels de ceux qui les écrivent, des intérêts programmatiques comme ceux qui sont proposés dans « Le Sursaut Français,  très utiles pour une synthèse finale portée par la lauréate ou le lauréat.

Alors ces chères primaires ne couteront pas cher en financement puisque 2 Euros seront requis auprès des quatre millions de votantes et votants escomptés. En revanche, la circulation et les meetings partout en France vont mobiliser les moyens sur les candidats. La globalité de ces moyens donneront meilleurs fortunes aux plus huppés. Pas d’égalité sur ce plan pour les diverses « écuries » en présence. Mais attention néanmoins à ne pas dépasser certaines limites qui marqueraient au fer rouge tout excès sur ce plan.

 Nous allons sortir d’élections internes difficiles à contrôler, et les couteaux sont aiguisés…Un jeu dangereux, des liaisons dangereuses se peaufinent. Mais chacun sait qu’aucune prédominance ne doit exister. C’est important. Comme chacun sait, ce n’est pas toujours le meilleur qui gagne, paradoxalement…Et à l’instar du commentateur de télévision aujourd’hui disparu, Léon Zitrone et spécialiste du PMU, on peut imaginer qu’un « outsider » d’aujourd’hui, « sorte du diable vauvert »…en cette fin d’année 2016 pour porter la casaque suprême qui sera endossée le jour de la Présidentielle de 2017, c’est à dire dans 1 an, 3 mois, 7 jours et quelques heures. Ah, mes chères « Primaires », elles n’ont pas fini de faire trembler. Et que dire des « Législatives » courues dans la foulée? Un bel exercice intellectuel et physique également, et qui va de pair. Amateurs, s’abstenir !!!

Gérard VOISIN

Président de « LES REPUBLICAINS »

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Texte envoyé au Journal de Saône et Loire. Non paru.

Quel toupet! Un parti politique libéral où ceux qui ne payent pas leurs cotisations empêchent ceux qui les règlent, de participer aux élections internes des 30 et 31 janvier pour le compte de la Fédération de Saône et Loire.

Quel toupet! Un parti politique libéral nommé « Les Républicains » qui négocie entre quelques personnes tous les scrutins quant à la constitution des listes ou des investitures, des suspensions, des exclusions. Une confusion qui est voulue et amatrice à la fois. Deux ou trois personnes dans une Fédération décomposée depuis plus de trois ans qui pratiquent le népotisme et la remise en selle de personnes dont la justice administrative les a écartés de leurs fonctions.

Les listes déposées sur les cinq circonscriptions pour le comité départemental, la liste des conseillers nationaux à élire, une seule candidature à la présidence, un scrutin lourd à mettre en place, des bureaux de vote géographiquement difficilement accessibles, sont contestables d’ores et déjà. Un soupçon de « tel est pris qui croyait prendre »qui persiste. Aucun laxisme n’est tolérable pour une validité des élections dans un monde politique dont les pratiques sont critiquables et mal supportées par les Françaises et les Français.

L’absence de hiérarchie a plongé la Fédération de Saône et Loire dans un magma qui préfigure mal une maitrise des mois qui nous séparent de l’élection présidentielle et des élections législatives. Plusieurs lignes se mettent en place en représentation des candidates et candidats aux « primaires »de la droite qui se dérouleront à la fin de cette année.

Tout manquement doit être sanctionné. Nous veillerons à la scrupuleuse régularité du processus électoral en relation avec la structure nationale. La période d’opacité doit se terminer. Elle se terminera. La famille des Républicains doit après la vie houleuse de l’UMP, se reconstruire et se rassembler. Nous veillerons à la réussite de cette remise en marche de la Fédération, à la qualité des propositions et le respect des candidats lorsqu’ils entreront en campagne.

Gérard VOISIN

Président de « LES REPUBLICAINS »

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Lettre ouverte avant le débat d’orientation budgétaire pour 2016

Pourriels

Objet

Fwd: Lettre à Monsieur Andrès : »Votre convention eaux usées »

De

gv@gerardvoisin.com

À

mairie@charnay.com

Date

23/01/2016 18:50

Merci de transmettre à Monsieur le maire de Charnay-les-Mâcon, en urgence, compte tenu du conseil municipal du 25 janvier 2016

——– Courriel original ——–

Objet: Lettre à Monsieur Andrès : »Votre convention eaux usées »

Date: 22/01/2016 1:07

De: gv@gerardvoisin.com

À: Gv <gv@gerardvoisin.com>

Monsieur le maire, lors du dernier Conseil Municipal de Charnay, un conseiller de l’opposition a abordé la situation dramatique sur le plan financier, technique et juridique des transits des eaux usées dans les canalisations de la Ville de Mâcon. Vous lui avez alors rétorqué que vous alliez apporter une réponse puisque c’est maintenant sous votre responsabilité qu’est régit la facturation des transits d’eaux usées pour l’avenir, mais aussi des dettes que vous n’avez pas réglées sur les années passées, sauf 242 000 euros dont on ne peut savoir pour quelles raisons vous l’avez décidé sans honorer les autres.

Je pense sans me tromper que vous devez donner au prochain Conseil et avant le vote du budget primitif pour 2016, c’est à dire au Débat d’Orientation Budgétaire, les explications crédibilisant la nouvelle convention que vous avez proposée,votée par le Conseil Municipal. Celle ci doit être votée pour annuler et remplacer la précédente, par le Conseil Municipal de Mâcon, ainsi que par le SITEAM. Je souhaite avoir copie des trois documents signés par les deux maires respectifs, ainsi que par le Président du syndicat.

Nous savons que les jugements des justices ne sont pas connus, mais qu’importe, seule doit intervenir la transparence vis à vis des administrés et des contribuables Charnaysiens, ainsi que le porté à connaissance sur l’agglomération Mâconnaise du fait que seule la Ville de Charnay paye ou devra payer un tel « impôt » de transit sur le bassin versant, à la Ville de Mâcon.

Ce sont pour non gestion de votre part à ce jour, près de 2 000 000 d’euros de dettes vraies ou supposées comme les 915 000 euros que vous aviez ainsi qualifiés comme étant non réglés par votre prédécesseur, qui soit dit en passant n’avait pas plus que vous reçu, ni le receveur municipal de « commandement à payer », ce que vous appeliez à l’époque en compagnie de Monsieur Buhot une « facture » selon la presse en 2014. J’en suis certain puisque ce prédécesseur, c’est moi.

Deux ans plus tard, rien n’est réglé et vous êtes seul en responsabilité jusqu’à la fin de votre mandat. Il ne peut être question de repousser plus longtemps le règlement du différent entre Charnay et Mâcon.Vous en êtes comptable aujourd’hui.

Je vous remercie pour votre attention et vous présente mes salutations,

Gérard VOISIN

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LE RESPECT DES PARTIS POUR QUE LA POLITIQUE SOIT AIMEE

Invariablement, certains vieux démons RPR, puis UMP et maintenant des Républicains de Nicolas Sarkozy, peu nombreux mais actifs ressuscitent, piétinent allègrement les platebandes, et fourches en mains activent les charbons ardents en foyers conquis.

Nous avons pu lire dans la presse, que la distribution des places, des présidences et autres sièges dans les Fédérations étaient quasiment acquis, photos à l’appui et propos déjà heureux des passeurs de fauteuils et d’impétrants souriants, bien que battus par exemple aux Régionales ou récemment déchus de leurs mandats.

Si c’était vrai, le statu-quo étant irréversible, ce serait bien pratique de continuer à tricher. En revanche n’ayant pu être inscrits sur les listes électorales ou n’ayant pu être candidats pour des raisons encore obscures, certains adhérents ne pourront pas participer à ces scrutins, alors que d’autres par contre, ne remplissant pas les obligations statutaires du genre mauvais règlements des cotisations…seront aux premières loges.  Sachant que d’autres accusations se préparent devant la complexité de ces scrutins apportant forcément des recours, je pense que le parti de Nicolas Sarkozy dans notre département 71, comme dans d’autres, n’a pas besoin des mêmes turpitudes qu’il a connu toutes ces dernières années en Saône et Loire, à l’instar du  niveau national.

Nous, adhérents du parti « LES REPUBLICAINS et parfois adhérents en double appartenance, ce qui est mon cas, souhaitons la transparence, car les élections se déroulant le 30 janvier, c’est à dire dans quelques jours seulement, nous devons dès maintenant mettre en oeuvre une plainte pour abus d’utilisation, SANS autorisation, du  nom du parti politique « LES REPUBLICAINS » dont je suis le président, créé préalablement à celui de Mr Sarkozy, déclaré en date du 09 avril 2015, suite à une décision prise le 27 mars 2015. Le récépissé de déclaration de création de « LES REPUBLICAINS », m’a été signifié par courrier du Préfet de Saône et Loire, le 13 avril 2015. Le justificatif de publication au Journal Officiel, m’a également été remis.

Notre parti « LES REPUBLICAINS prime très clairement chronologiquement sur celui présidé par Nicolas Sarkozy qui a beaucoup peiné en justice au Tribunal de Paris pour être autorisé sous cette appellation à postériori de notre création, suite aux attaques de personnalités ou d’associations de gauche. D’ailleurs, tout n’étant pas réglé, le Président Sarkozy devra peut être faire voter d’autres statuts pour un autre nom, « Le rassemblement » ayant été longtemps sollicité par une majorité de militants, parfois non des moindres.

la procédure en général et en politique particulièrement n’est pas plaisante. Mais nous pensons avoir été d’une extrême patience avec l’UMP et maintenant Les Républicains. Nous attendons   les renseignements nous permettant d’arrêter cette procédure. Peut être n’inquiète-t-elle personne en Saône et Loire, par contre les médias nationaux seront intéressés. Mercredi 20 janvier 2016, si nous n’avons pas de garanties fermes de régularité, nous ferons usage de justice et de médias.

Gérard VOISIN

Président du Parti « LES REPUBLICAINS »

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Le nouveau grand départ,

Ce ne sont pas les cent jours de Napoléon, ce n’est pas Bonaparte à Arcole. Mais c’est une bataille de plus que je mène pour mes idées, l’ultime, que mes amis et mes adversaires de gauche et de droite se rassurent.

J’ai scrupuleusement continué comme je le souhaitais et comme je m’étais engagé à poursuivre semaines après semaines depuis 2012, une vie dans le monde parlementaire, et particulièrement à l’Assemblée Nationale. Plus présent que certains députés dont c’est une obligation, j’ai ainsi pu rester en contact avec celles et ceux qui comptent dans les « appareils » politiques, mais également sur le terrain départemental, élargi en d’autres lieux plus excentrés, par les avancées informatiques et les réseaux sociaux incontournables aujourd’hui.

Aujourd’hui, en ce début d’année 2016, je m’engage sur les voies des « primaires de la droite et du centre » pour trouver dans le consensus le plus fort ou au moins le plus raisonnable, la personnalité qui sera déclarée NOTRE candidat. Je me réjouis déjà de cette reprise du débat politique qui sera, je l’espère, le plus respectueux possible. J’ai coutume de dire que ce n’est pas toujours le meilleur ou la meilleure qui gagne, surtout quand c’est moi qui les gagne…. Mais il faut en passer par là pour espérer gagner les prochaines élections Présidentielles et immédiatement après, les législatives.

Député UMP j’étais, candidat « LES REPUBLICAINS », je serai, dans la continuité. Attaché à ma circonscription législative de naissance, celle de Mâcon et 1ère de Saône et Loire, je serai à nouveau candidat pour plusieurs raisons liées à la situation politique et économique nationale, mais aussi parce qu’un grand « ménage » doit être exécuté en Mâconnais-Beaujolais-Clunisois pour redonner un député de la droite et du centre pour la Saône et Loire, « LES REPUBLICAINS », notre Département n’en possédant plus aucun.

Les élections Départementales et Régionales n’ont pas dégagé de leaders pour ce type d’élections nationales. A gauche et à droite, trois ou quatre candidats potentiels sont considérablement affaiblis par déchéances de mandats, ou « survie » peu honorable en absence de règles législatives suffisantes et résistante à la hiérarchie socialiste la plus élevée puisque concernant le Président Hollande, le Premier Ministre Valls ou bien encore le Président de l’Assemblée Nationale, Bartolone !

Connaissant parfaitement la vie politique et administrative de la France, libre de tout mandat pouvant créer un cumul de représentation aujourd’hui déclaré dépassé, sans « gamelle » attachée aux pieds, avec une sagesse revendiquée car la France va en manquer, je pourrai ainsi engager une succession par la présence en suivant immédiat, d’une personnalité jeune qui à tout moment aura la taille de prendre la suite, dans une majorité de droite et une France apaisée et dynamique, et stoppant parallèlement le déclin Mâconnais, sa faiblesse politique illustrée par la terre brûlée qui est aujourd’hui la notre.

Je déclare donc aujourd’hui mon engagement sans retour. Depuis trois ans,la Fédération 71 UMP devenue Les Républicains, n’a pas existé. C’est donc en parallèle de mes actions politiques décrites précédemment, un engagement pour moi que de reconstruire avec les adhérents de qualité et motivés, et particulièrement avec une présidence, un bureau et un comité départemental fondamentalement reconstruit, une « maison » solide et obligatoire pour sortir notre famille politique du marasme où elle s’est enfoncée.

Je VOUS souhaite une très bonne année à toutes et tous, quelles que soient les opinions politiques, le statut social… J’ai toujours oeuvré dans cet esprit, je continue et j’irai plus loin encore.

Gérard VOISIN

Président de « LES REPUBLICAINS »

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« LE PRINCE REVE TOUJOURS D’ETERNITE »

« LE PRINCE REVE TOUJOURS D’ETERNITE »

       Si nous devions créer un nouveau poste politique à partir de 2016, il faudrait inventer le métier de « moralisateur politique ». Les postulants avertis, les apprentis espérants, oui, ils existent. Mais des vrais moralisateurs, si peu. Il faut dire que les dérives de la vie politique ont toujours existé, sauf que de ce temps les dérives s’élargissent telles les nappes d’huile s’échappant des soutes éventrées des pétroliers empalés sur les rochers de l’Océan déchainé.

       Et pour répondre à un excellent chroniqueur du quotidien « Le Figaro », Maxime Tandonnet, ce que nous pouvons souhaiter à notre pays, c’est « qu’il retrouve le chemin de la politique, au sens noble du terme, du gouvernement de la cité, du choix d’un destin collectif. »

        Seulement voilà, sur le plan des pouvoirs, nous vivons une monarchie Républicaine, avec Cour active, toujours dans les Palais de la République ou les châteaux de Régions. Sévissent toujours les conseillers de celui qui a remplacé les Rois de France, les Princes et Ducs, Marquis, Comtes, Vicomtes et Barons. LE PRINCE REVE TOUJOURS D’ETERNITE. Il en découle que tout est propice, utilisable pour durer sous des ors agréables, compris la compromission quasi professionnelle, l’entourloupe, le simple mensonge, le grand oubli, la forfaiture, les coups montés. Ajoutons d’autres formules de peu glorieuses à déshonorantes et vous avez la caisse à outils de celui (plus particulièrement masculin), ou celle qui un jour se prendra les pieds dans les clefs du succès pour tomber lourdement sur le chemin qui fut de gloire et devient celui de Canossa.

         Outre le fait désagréable de devoir s’agenouiller pour lever la disgrâce non pas papale mais celle des tribunaux ou des pairs, s’ensuit la déchéance qui frappe les déchus, ainsi que le peuple qui pointe le pouce vers le bas, comme dans les arènes Romaines à l’appel de l’Empereur. Rien n’a vraiment changé avec les siècles. Expier est la règle de la chute provoquée par les travers. Tacher l’honneur de la République ou de la fonction, ce n’est pas seulement être exclu temporairement car battu d’un scrutin. La sanction démocratique ne peut être à l’égal de la sanction judiciaire dans sa consistance politique.

          Ainsi, c’est faire outrage à l’intelligence populaire, que de traiter bien légèrement les situations scabreuses où se trouvent certains élus situés dans des hiérarchies quasi nobiliaires évoquées plus haut. Nous avons aujourd’hui des tableaux d’effectifs dramatiques dans certains de nos départements et provinces mais également à Paris…Et de cela s’en défaire est une nécessité. Plus de taches, plus de roueries sous la Vème République, systèmes venus des tréfonds des 3ème et 4ème. Et si la loi n’en dit pas suffisamment sur les sanctions, reste le rejet des électrices et électeurs aux tours électoraux suivants les contrefaçons.

          Il est vrai que nul n’est parfait en ce monde public tourmenté et difficile. Mais il est dès cette année de changement une obligation d’éliminer les brebis jugées galeuses, jeunes ou moins juvéniles. Déjà certains égos surdimensionnés embrouilleront les « primaires » alors que les Français veulent UN leader, mais si par ailleurs nous voyons les « Princes » compétiteurs, de droite, de gauche ou du centre, accompagnés de bannis de leur domesticité, l’honorabilité de la politique sera failli. Etre ambitieux. Oui. mais vouloir atteindre ses objectifs en transgressant les règles conventionnelles, relève de la manipulation ou de la folie. Et il est difficile de rester très longtemps un manipulateur de talent sans se faire prendre un jour, y compris par les siens. Idem, soigner folies faites ou phobies, Il n’existe pas à ce jour d’ordonnance. Sauf de faire autre chose que de la politique. Pas de failli dans un noyau dur de reconquête par la droite qui entend s’honorer et se faire respecter.

Gérard VOISIN